La collection Orphée, en sommeil depuis 1998, a redémarré en 2012. Une dizaine de recueils inédits sont parus depuis. Pour savoir si les nouvelles parutions sont inédites ou s’il s’agit de rééditions, il faut se fier à la date de dépôt légal.

Un petit truc visuel : sur la couverture figure un visage, d’après Arman jusqu’en 1994, Julio Pomar jusqu’en 1998 et Milos Sobaic depuis 2012. Les rééditions (Anna de Noailles, Frederico Garcia Lorca, Adonis) sont réimprimées avec la couverture de la 3e série. Ok, c’est un détail, mais pour les bibliophiles…qui sait si un jour cette collection de poche bon marché ne déchainera pas de folles enchères !

Voici donc mes 8 nouvelles acquisitions, achetées lors d’un passage inopiné dans la librairie de mon adolescence, Urscheller-Vincenti, à Haguenau -libraire depuis 1849, comme le prouve ce certificat royal.
J’y ai acheté mon premier livre de la collection Orphée, un recueil du poète hongrois Attila Joszef. Le prénom m’avait alors fasciné, j’ignorais qu’il était courant en hongrois. Le hasard a fait que j’y achète les derniers parus.
Ruben Dario, Parcours poétique. Traduit de l’espagnol (Nicaragua).
Théophile de Viau, Ici mon désir est ma loi.
Dimitris Tsaloumas, Un chant du soir. Traduit de l’anglais (Australie)
Eduard Mörike, Chant de Weyla et autres poèmes. Traduit de l’allemand.
Friedrich Hölderlin, Chant de la terre natale. Traduit de l’allemand.
William Blake, Chansons et mythes. Traduit de l’anglais.
Gabriele D’Annunzio, De l’Alcyone et autres poèmes. Traduit de l’italien.
Thomas Bernhard, Sur la terre comme en enfer. Traduit de l’allemand.

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