Portrait du peintre et poète iranien par Amir Mohammad Ghasemizadeh

Les pas de l’eau / Sohrab Sepehri

Peintre, poète, voyageur, Sohrab Sepehri est moderne. Moderne dans la forme poétique, et moderne pour la pensée occidentale et orientale qu’il y introduit.

Mais il n’est pas le seul à rompre avec la tradition.

Mokhtar, introduit dans l’article sur Omar Khayyam, se trouve être un spécialiste de Nima Youshij. Il m’a expliqué leur énorme influence sur la poésie iranienne contemporaine. Avec Sohrab Sepehri, Ahmad Shamlou et Forough Farrokhzad, ils donnent une nouvelle direction à la poésie iranienne.

Il ne pouvait donc y avoir plus grand écart entre Omar Khayyam et Sohrab Sepehri, seuls représentants, avec Shamlou, de la poésie persane dans la collection Orphée.

Le poème lu par Mokhtar s’intitule La demeure de l’ami (souvent traduit par La maison de l’ami).

La demeure de l’ami, un poème de Sohrab Sepehri lu en français et en persan par Mokhtar I. pour Projet Orphée.

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Les pas de l’eau. Sohrab Sepehri.Traduit du persan (Iran) et présenté par Daryush Shayegan. Orphée, La Différence, 1991.

L’illustration de l’article est un portrait par Amir Mohammad Ghasemizadeh. Source Wikipedia